Collection Candaulisme. Différence D’Âge. La Fellation (7/14)

Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis ton Maître, Anne.
• Oui, Maître Christian.

La soirée dernière, mon Maître n’a pas été à la hauteur, se limitant à nous racontant l’histoire de sa famille en picolant avec Renaud mon mari.
Les deux hommes se sont endormis entièrement nus dans leur fauteuil alors que j’essayais de faire une fellation à Christian.

Après une bonne nuit, dans un lit trop grand, je me sentais seule.
Recouverte d’un des peignoirs qui serviront aux libertins dès la fin juin, je rejoins les hommes qui dorment lamentablement.
Ils cuvent toujours mais j’entends un bruit dans la cuisine.
Je m’y rends pour découvrir une "liane" noire habillée en parfaite cuisinière.

Océane, c’est le nom qu’elle me donne, déballe les plats que nous allons manger dans la soirée, pour mes ouvriers, ces derniers apportant leur gamelle, je ne m’occupe de rien.
Je m’aperçois, à la manière dont elle parle et surtout aux intonations de sa voix, qu’elle doit mouiller pour mon Maître.
Ils formeraient un beau couple, surtout que lui, m’ayant dit avoir la trentaine, doit penser à la pérennité de son héritage.
Avoir au moins un garçon par génération, comme ça semble être le cas depuis que sa famille a récupéré les biens de celui qui avait été considéré comme un collabo après-guerre.

Je vais pour sortir.
En me retournant, je vois l’ouverture dès maintenant pour réaliser mon idée car Christian, encore endormi, fait un rêve érotique et bande.
Pour éviter de les réveiller avant que je n’aie réalisé mon idée, nous parlons à voix base, elle et moi.

• Océane, nous avons une heure avant l’arrivée de mes ouvriers.
Ils vont travailler même le samedi et le dimanche pour que Christian puisse ouvrir à la date prévue.
En regardant tes réactions quand tu parles de Christian, j’ai l’impression que tu es amoureuse de ce grand garçon blond.

Dis, moi si je me trompe ?
• Ça se voit tant que ça ?
Pourtant il semble ne pas me voir.
• Tu sais les hommes, ils ont du mal à voir leur nez au milieu de leur figure. Avant de te dire ce que nous allons faire pour lui montrer la jolie fille à côté de laquelle il passe, je te pose un question.
Connais-tu vers quelle tendance son gîte va être orienté ?
• Oui, il a été franc.
Quand je viendrai livrer, je risquerais de croiser des personnes nues, hommes ou femmes, ce sera un gîte naturiste.
• Il a employé le mot « naturiste » ?
• Pas tout à fait, mais c’est ce que j’en ai déduit.
• Naturiste, peut-être, mais libertin, sûrement.
Tu seras amenée à voir des couples copuler dans divers endroits de la maison. Es-tu prête à le partager ?
Pour exemple sache que lui et mon homme sont nus à cuver dans leur fauteuil leur alcool qui ont sifflés allègrement hier.
Hier au soir, avant d’aller me coucher, j’ai sucé Christian mon Maître, hélas il était trop bourré !
• Ton Maître ?
• Oui, chez les libertins ou échangistes comme tu dois l’entendre, il y a des soumis ou des soumises commandés par des Maîtres.
Christian en est un, c’est le mien.
Es-tu prête à le partager avec moi, ce sera le nôtre !

En exprimant ces mots, je remarque que j’ai fait mon choix dans ma tête, le plaisir de mon Maître en le partageant avec cette jolie black.

• Que dois-je faire ?
• Mets-toi nue.
Je sais ce que tu vas faire pour qu’il s’aperçoive de ton existence et qu'il sache que tu es prête à le suivre dans sa vie de débauche.
• Je dois t’avouer, je suis vierge.
• Encore mieux, un homme qui te dépucelle est à jamais attaché à toi.
Son propre dépucelage ou le dépucelage d’autres femmes seront gravés dans son cerveau.

Elle aussi semble avoir fait son choix en quelques secondes, me montrant le degré d’amour qu’elle a pour lui.
Elle retire ses habits, un à un.
Ses effets sont rangés sur le bord du plan de travail.
Elle me fait voir la jeune femme soignée qu’elle est, c’est primordial dans son travail.
Ce que je découvre est étonnant, sa poitrine, j’ai parlé de liane, à ce niveau de son anatomie, j’en ai la preuve.
Ses seins sont inexistants, du moins minuscules.
Seuls deux mamelons aussi gros que des framboises, non, un peu plus, comme des mures, sont accrochées à son torse.
C'est étonnant, excitant et si différent de moi.
Ce que mon Maître ne connaîtra jamais avec cette absence de poitrine, c’est qu’elle lui fasse des branlettes espagnoles.
Ça ne fait rien, s’il nous garde, j’ai ce qu’il faut à lui proposer pour qu’il se masturbe entre les miens.
Sa chatte est bouclée, de petites mèches bien rondes forment un beau triangle.
Là encore, si j’étais lesbienne et que je décide d'aller la caresser, je suis sûre, que ces boucles seraient dures et crisseraient sous mes doigts.
Bien sûr je m’en garde bien, je lui tends la main, elle la prend et approche.
Je peux encore mieux lui parler doucement à son oreille, nous sommes toutes proches l'une de l'autre, elle nue et moi encore en peignoir.
Il serait bête que notre Maître, non pas encore, mon Maître, se réveille fichant mon plan parterre.

• Voilà comment nous allons faire.
Regarde l’homme à qui tu aimerais appartenir, il bande en dormant.
Nous allons nous agenouiller et tu vas lui faire une fellation tout en le masturbant.
Es-tu capable de le faire, d’abord une fellation, tu sais ce que c’est ?
• N’ai aucun souci, je sais, si tu penses que le sucer me permettra de devenir son aimée, je veux bien essayer, je n’ai rien à perdre.

Elle se place sur ses genoux à sa droite, moi de même à gauche.
Je laisse tomber mon peignoir.
Je frissonne.
J’aurais dû raviver le feu, mais cela aurait fait du bruit et mon idée risquait de tombée à l’eau.
Je vois son regard, encore gêné, qui se porte sur mon corps.
A-t-elle déjà vu une femme mure nue avec de gros seins comme les miens ?
Je ne le sais pas encore
Je suis une femme de tête et malgré l’acceptation de ma soumission, quand j’ai une idée, je m’y accroche.
C’est ainsi que j’ai réussi à créer mon entreprise de décoration.
Combien m’ont fait comprendre qu’étant une femme, c’était impossible et que j’allais me planter.
Le contrat que j’ai décroché ici, certains diront que c’est avec son cul que je l’ai décroché, et alors !
Je ne saurai jamais si c’est avec mon sexe que cela s’est fait.
Ai-je comme d’autres dans les administrations réussi une promotion canapé ?
Ce que j'ai dans ma tête, c’est le bilan que je vais présenter à mon comptable en fin d’année et si mon cul y a participé, il sera largement en excédant, après deux ans de léger déficit.
Mais revenons à la verge de mon Maître, la cuisine financière ce n’est pas mon souci du moment, la cuisinière Océane va-t-elle assurer ?
Elle pose discrètement sa main sur le pénis de Christian, elle a un regard vers moi, je lui fais un geste d’encouragement.
Il bouge légèrement, son rêve doit avoir été un peu bousculé.
Elle regarde cette verge qui est longue et fine, elle tourne la tête vers mon mari. Certainement elle est en train de comparer les deux verges.
Qu'en pense-t-elle ?
Celle de Renaud pend lamentablement.
Sa bouche s’approche, je vois très nettement qu’elle l’arrondit, et fait entrer le gland avant de le relâcher.
Elle murmure.

• Elle est chaude et douce, j’aime bien.

Et elle repart à son labeur, je vois descendre le sexe de plus en plus profondément dans sa gorge.
Mince, elle va arriver à lui faire une gorge profonde !
Si elle est dans l’incapacité dans le futur de lui faire une branlette espagnole vue la petite taille de ses seins, sa bouche lui sera bien utile pour le faire bander en me pompant.
Un instant, j’ai l’impression qu’elle connaît les fellations mieux que moi je les connais et pourtant avec mes amant d’avant Renaud, j’avais des heures de voles.
Je mets ma main sur sa main et c’est moi qui l’aide à le masturber.
Je me souviens du temps que j’ai mis pour arriver à synchroniser mes gestes dans mes premières branlettes, mes amants me donnaient des surnoms comme « la manchote ».
J’en n'avais cure, seul leur sperme au fond de ma gorge m’importait.
Nicolas Peyrac ne chantait-il pas, « la pilule n’existait pas. »
Elle existait, mais il n’y avait pas tous ces systèmes actuels qui permettent aux jeunes femmes de se la faire prescrire.
On se faisait baiser ne sachant pas que la pénétration même sans éjaculation vaginale pouvait nous engrosser.
Jusqu’à ma rencontre avec Renaud, j’ai échappé aux grossesses intempestives.

• Attention Anne, je vais décharger, je savais que tu étais une vraie cochonne.
Une bonne bouffarde avant d’aller se coucher ça fait toujours du bien.

À la voix de Christian, Océane a un mouvement de retrait et sous les rires de Renaud, réveillé lui aussi et ayant tout compris, éclate de rire.
Les giclées de sperme lui partent dans les yeux et dans les cheveux.

• Merde, c’est toi Océane, que fais-tu là à me sucer ?
• Je veux être votre soumise Maître Christian !
• Mais tu es nue !

Encore mieux réussi que ce que je pensais, non seulement le test est positif, mais ce soir à la veillée, quand Christian continuera l’histoire de sa famille, ce sera elle le paillasson, si elle est là.

Je passe le doigt sur les yeux de notre amie afin de récupérer le sperme.
Une nouvelle fois, si j’avais été une gouine, c’est ma langue que j’aurais passée sur son visage.
Cela aurait commencé ainsi avec certainement comme suite, ma bouche trouvant la sienne.
Mais comme nous semblons être de bonnes hétéros, trois à quatre passages de mes doigts et je peux savourer le maximum de foutre qu’il a rejeté.

À ce moment là, le carillon venant certainement du Jura se met à sonner.

• Je n’y comprends plus rien, je croyais que je n’avais pas dormi, il est déjà huit heures !
• Oui, Maître, je vous ai laissé dormir.
Océane a plus de chance que moi, sous sa bouche et ma main, vous avez éjaculé.
Avec moi hier au soir, vous vous êtes endormis tous les deux lamentablement.
Entre parenthèse, Maître, j’ai testé votre chambre, le matelas est impeccable, malgré la douche qui a tendance à déconner, malgré ça, je suis en pleine forme.
• Et moi, j’ai la gueule de bois, je boirais bien un café.

C’est Renaud qui vient d’exprimer ses désirs.
Les miens avec lui sont loin de pouvoir être satisfaits, il bande toujours mou, malgré la vision qu’il a eu de voir Océane sucer notre Maître.
Ce sont deux soumises, salopes de surcroît, qui se lèvent et qui se prennent main dans la main avant de rejoindre la cuisine.
Je remets mon peignoir me rendant plus présentable, Océane se rhabille elle aussi. Elle ne porte pas de soutien gorge, elle n'en a pas besoin.

• Messieurs, allez dans la chambre, prendre une douche et reprendre une tenue décente les ouvriers vont arriver.
Quand vous reviendrez, un petit déjeuner copieux vous sera servi.
• Moi aussi, j’ai la gueule de bois, mon marc est vraiment très fort…